Dr MURGUE DOMINIQUE

Pour moi mais aussi pour ma famille, Dominique Murgue fut notre médecin de famille une appellation qui aujourd'hui à si peu de sens, il nous a accompagné dans tous les sens du terme tout au long de son séjour sur Grabels et malgré ses propres difficultés de la vie. Son départ pour Ajaccio je l'ai vécu avec joie uniquement parce que c'est ce qu'il avait décidé, mais il a laissé un grand vide ici, je n'ai jamais retrouvé un tel soutien. Merci à lui.

Ce médecin nous a soigné pendant plus de 30 ans il a été super pour mon papa qui est décédé aujourd’hui il s’est très bien occupé de mon époux de moi et de mes enfants c’est un médecin formidable il nous manque beaucoup il était très apprécié c’est bien dommage qu’ils ai quitté Grabels ils étaient bien aimé de beaucoup de monde son diagnostique était très bien il était sûr de lui super comme médecin tu nous manques beaucoup dr Murgue on pense souvent à toi MARIE et Michel

merci monsieur Murgue pour moi et met enfants pendant plus de 20 ans vous nous avez soigner écouter

Dominique à été mon médeçin pendant plus de 30 ans. Il a été toujours là pour moi et mes trois enfants. De jour comme de nuit il a été toujours la pour ma famille et moi. Je viens d être gravement malade et j'aurais aimé qu il soit avec moi, mais il a droit a sa vie. Je lui dois la vie et beaucoup d'autres choses et je voudrais simplement lui dire un immense merci et une très longue retraite avec ces enfants et petits enfants et plein de bonheur comme il en donné autour de lui. Sache une dernière chose toubib, tu me manques beaucoup et nous pensons souvent a toi. Sache que dans les Cévennes une famille t'attends et t'aime.

Que le départ de Grabels de ce médecin a changé le paysage médical des petites communes proches... Retrouver un aussi bon diagnosticien, toujours à l'écoute de ses patients a été très compliqué et il a fallu s'éloigner de son remplaçant peu enclint au type d'écoute auquel nous étions habitués... Il a été mon médecin durant 23 ans et je regrette vraiment son départ.